Vercors,
Le silence de la mer. 1941.


Je ne sais si Werner von Ebrennac le vit.
Ses pupilles, celles de la jeune fille,
amarrées comme, dans le courant,
la barque à l'anneau de la rive,
semblaient l'être par un fil si tendu, si raide,
qu'on n'eût pas oser passer un doigt entre leurs yeux.