Quand le fait fut connu, il fut
rapporté au roi
de Perse :
oui, au lieu où les prêtres
en exil avaient caché le feu, une
eau était apparue,
avec laquelle les hommes de Néhémie
avaient
fait brûler les offrandes du sacrifice.
Le roi enquête sur le fait, enclôt le lieu
et le consacre.
Le roi en retire de nombreux revenus, dont il fait part
à ceux à qui il accorde ses faveurs.
Les hommes de Néhémie nomment
cette eau nephtar, ce qui veut dire
purification,
mais plusieurs l'appellent nephtai.
Pour que le marchand d’étoffes ne soit pas la
victime
de la fatigue des yeux de l'acheteur,
il faut que le premier, après avoir
montré
au second sept pièces rouges,
lui présente des étoffes vertes pour
ramener
ses yeux à l'état normal.
Si la vue du vert était assez prolongée
pour dépasser l'état normal,
les yeux auraient tendance à voir le rouge;
dès lors les pièces vues en dernier lieu
paraîtraient plus belles que les autres.
Joseph Priestley,
The History and present state of discoveries relating to Vision, Light,
and Colours. London.
1772.
Period IV.
The colorific
property, as I may call it, of prisms,
makes them of great value in the East, as we learn from
Father Trigautius,
in his account of the mission to China;
who says that 500 pieces of gold had been given for one
of them,
by a person who got it upon those terms with great
difficulty;
it being thought to be fit for sovereign princes only.
Kircher gives the
same account in his China Illustrata